Le bilan pour février est mitigé à première vue : la première session m’a fait tilter comme jamais, d’où le plongeon vertigineux au début. Mais, ce fut l’occasion, couplée à un break de quelques jours lié à un souci de disque dur, d’en parler à mon coach, qui m’a donné des tuyaux que je n’aurais jamais soupçonnés pour améliorer mon mental, tant et si bien que, dès que j’ai repris le grind, j’accepte bien plus facilement les sessions sans résultat, outre que je parviens de plus en plus régulièrement à battre le rake lors des sessions positives.
Autre précision : sur les conseils de mon coach, je me cantonne au NLHE ; par conséquent, pas de grind dans les variantes jusqu’à nouvel avis (ni en Go Fast, d’ailleurs).
- format : 5-handed ;
- limite jouée : NL2 ;
- nombre de mains jouées : 10 552 ;
- résultat net : -20,88 € ;
- bb / 100 : -9,89 ;
- rake : 31,91 € ;
- VPIP : 28 ;
- PFR : 25 ;
- AF : 4,30 ;
- BSA : 58 ;
- FBB : 76 ;
- 3-bet PF : 5 ;
- fold 3-bet PF : 71 ;
- 4-bet PF : 5 ;
- fold 4-bet PF : 50 ;
- squeeze : 4 ;
- c-bet flop : 49 ;
- fold c-bet flop : 61 ;
- c-bet turn : 52 ;
- fold c-bet turn : 49.
Je continue à transformer mon jeu en un jeu plus LAG, si bien que mon tracker, qui me traitait jusqu’à il y a peu de « book », me traite à présent de « gambler » ! Allié au boost mental que j’ai eu, ça ne peut que repartir de plus belle, lentement, mais sûrement.
Au cumul.
- format : 5-handed ;
- limite jouée : NL2 ;
- nombre de mains jouées : 70 088 ;
- résultat net : -40,06 € ;
- bb / 100 : -2,86 ;
- rake : 159,97 € ;
- VPIP : 21 ;
- PFR : 18 ;
- AF : 4,34 ;
- BSA : 39 ;
- FBB : 84 ;
- 3-bet PF : 3 ;
- fold 3-bet PF : 69 ;
- 4-bet PF : 5 ;
- fold 4-bet PF : 42 ;
- squeeze : 3 ;
- c-bet flop : 49 ;
- fold c-bet flop : 62 ;
- c-bet turn : 67 ;
- fold c-bet turn : 42.
À présent, j’ai deux objectifs chiffrés. Le premier, sur le conseil de mon coach, est d’atteindre un solde positif de 20 caves pour passer à la NL5. Le second est d’atteindre la NL10 d’ici la fin de l’année.
Et, à chaque fin de session, j’ai envie de chanter : « Fish, tu ne sais paaaaaaaaaaaaaas combien je t’aaaaaaaaimeeeeeeee » (non, non, Francis Lalanne ne demande pas où est la caméra ), surtout quand on parvient à se hisser jusqu’à plus de 6 caves de tapis à une table voyant défiler des maniaques fishs cherchant sans doute à jouer le Gus Hansen qui perd 20 millions de dollars face à Alex Luneau ou à Sébastien Sabic, la capture d’écran ci-dessous faisant foi. B)
Pour finir, un peu de brag, avec ce compliment que j’ai reçu d’un joueur lors d’une des sessions jouées ce mois-ci.
En attendant un compliment d’Alex Luneau (ou pas)…