Pas facile à dire. 
Ça dépend des formats, des BI, de notre éventuel edge et tout ça.
Mais à mon avis, si on ne voit pas arriver des trucs « ± pas possibles » de temps à autre,
c’est probablement parce qu’on n’en fait pas assez. 
Le poker est effectivement une question de volume encore faut-il que celui-ci ne soit pas fait au détriment de la qualité du jeu.
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Car la réponse est singulière et n’est pas figée, avec des objectifs ou pas, avec une ambition ou pas, mon attente n’est pas la même que la tienne où celle d’un autre ou de celle que j’avais il y a 15 ans même si certains facteurs comme le plaisir de jouer, de bien jouer sans faire du poker la priorité.
Le volume n’est qu’une façon de lisser la variance à condition de jouer à la bonne limite correspondant à son niveau sur le format, pour ma part j’ai touché à tous les formats de NLHE et à chaque période ses raisons, la seule chose que je me suis imposé depuis mes débuts c’est de ne pas cash in ce que que je n’ai pas cash out. Le reste a varié en fonction du temps que j’avais, de mon plaisir à travailler hors tables et du plaisir à jouer.
Aujourd’hui, j’ai n’ai plus l’envie et la patience de consacrer des heures et des heures à jouer et travailler mon jeu, mon plaisir c’est donc de jouer à mon niveau en exploitation avec pastillage et notes et d’avoir le recul et la lucidité nécessaires sans mode automatique pour auto-évaluer mon jeu et mon état d’esprit. Car le mental et la lucidité ne sont pas spécifiques au poker mais à la vie tout court et les sessions gagnantes ou perdantes ne donnent pas les bonnes réponses à court terme.
Donc parler de volume se décompose pour moi en sessions le trop ou pas assez de chaque session et leurs nombres, je peux faire zéro session ou 6 sessions en une journée et faire des pauses de plusieurs jours voire de semaines. Ma singularité c’est que je n’ai pas d’objectifs financiers et de limites, je me considère aujourd’hui comme un récréatif avec un background poker et ça me va très bien, je joue à ma limite avec quelques exceptions de shoots au dessus quand j’ai des résultats en adéquation avec mon meilleur niveau de jeu.
Ma réponse est donc que je fais trop de volume quand je joue mal et pas assez quand je joue bien !
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Ce post était surtout pour en rire, vous l’aurez compris. 
Mais vous avez raison tous les deux.
C’est clair. Si la quantité se fait aux dépens de la qualité, ça n’a pas de sens.
Sauf peut-être pour certains industriels de l’agroalimentaire mais c’est encore une autre question. 
@stratege85 : Pas besoin de citer ton texte, en tout ou en partie, je te reçois 5/5. 
Et ce que ça m’inspire de plus positif, c’est que je suis bien content de n’être encore qu’où j’en suis.
C’est-à-dire au stade où je commence à pas mal me débrouiller (format, BI, etc) mais juste assez pour commencer à comprendre que je ne suis nulle part. 
Après, bien sûr que tout est relatif. Mais ça me motive quand même.
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Je l’ai pris comme ça mais j’ai pris la balle au bond pour ouvrir le débat du pourquoi on joue et expliquer ce que j’en attends actuellement, je ne suis pas vraiment le profil type sur un forum de poker car c’est un loisir, j’entretiens juste mes connaissances théoriques et statistiques pour pousser au maximum mon jeu et ma réflexion sur l’exploitation.
Je n’ai ni raison ni tord car c’est juste la place et l’ambition que j’ai pour mon jeu au poker (tu le sais, c’est pour les autres lecteurs) et je comprends parfaitement que d’autres n’ont pas du tout les mêmes attentes, heureusement d’ailleurs car j’ai aussi été plein d’ambitions dans d’autres domaines et je connais le travail qu’il faut faire pour atteindre ses objectifs ou pas d’ailleurs, car il n’y a aucune garantie de réussite.
Je me suis donné les moyens d’exercer des activités que j’aimais la plupart du temps et c’est déjà une chance même s’il faut la provoquer, il faut juste s’en rendre compte.
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