plop Guillaume
alors pour ma part, no game pendant 3 semaines ça m’est arrivé sans trop de soucis en fait. je me suis même presque fait violence pour rejouer à ce moment là, pourtant pas de lassitude ou de dégout du jeu, non juste bien occupé à coté et pas une si grosse motivation à reprendre (putain heureusement que je m’écoutes pas tout le temps)
pour les rêves et tout le reste, ça a été plutôt l’inverse en fait, il y a quelques années, ouais je m’étais même obligé à lever le pied parce que je rêvais des spots que j’avais jouer durant les sessions, et clairement j’en avais quand même flippé un peu.
la “cessation” de ce phénomène correspond peu ou prou à mes “tentatives” de combat du tilt, peu de médiation, 2/3 autres machins à la con mais surtout un gros travail sur moi même et (sans inciter quiconque) des séances chez un sophrologue (hein hein, oui, non, ah ok => 72€ svp - les fans de Bref se rappelleront de cet épisode, même si c’était chez le psy xD).
ça avait eu 2 vertus, efficace contre le tilt (pour une très grosse partie, pour le MTT j’ai renoncé et lui aussi :D) et mes songes à la con ont disparu de concert quoi.
après le fait de pas jouer et de ressentir le manque… je pense que c’est pareil pour un sportif de haut niveau. une époque (sans dire que j’étais bon hein, osef) de sports intensifs, c’est clair que les périodes estivales étaient un calvaire pour moi et je passais mon temps à courir pour compenser (putain ça race, c’est loin ça, fuck les années :P)
pourtant si tu parles de sport, tout le monde va trouver ça normal, on sécrète des substances, on a de l’énergie à dépenser du fait des habits corporelles etc…
des parallèles que je retrouve perso dans le pok.
donc ouais, imo on est tous plus ou moins addict mais j’y vois pas plus de soucis (je parles pas des addicts qui crament leurs vies obv) que le mec qui a besoin d’aller run ses 10 bornes quotidiennes quoi.
°+°