Non mais c’est quoi ce tribunal inquisiteur sur l’ami Gus? Je ne suis pas forcément un fan mais je ne comprend pas cet acharnement qui part d’un post où l’on écrit une grosse connerie… Désolé OLVA mais il faut avouer que tu as cherché le baton. Bon on mettra ça sur le compte de la fatigue 
Je suis étonné que personne n’ait répondu de façon constructive en expliquant à nouveau la façon de calculer une côte.
Alors même si le calcul a déjà été largement abordé sur ce forum une petite piqure de rappel ne devrait apparemment pas faire de mal:
Si on note « G » le pourcentage de chance de gagner le coup et « P » le pourcentage de chance de perdre le coup, on peut alors calculer l’espérance mathématique « E » qui correspond au bilan financier du coup sur le long terme.
Dans l’exemple de Gus on a donc E= 96000G - 28000P (on gagne en moyenne 96000 dans G% des coups et on perd en moyenne 28000 dans P% des coups).
C’est là que la petite subtilité intervient: si on néglige le cas où il y a un partage du pot, les probabilités de gain et de perte sont des évènements complémentaires. On peut alors écrire que G+P=1 donc P=1-G.
En reprenant le calcul de l’espérance mathématique:
E = 96000G - 28000P
E= 96000G - 28000(1-G)
donc : E=(96000+28000)G-28000.
On utilisant cette expression on peut alors calculer le seuil de pourcentage de gain pour lequel on passe d’une espérance mathématique négative (perte de capital) à une espérance mathématique positive (gain), c’est à dire pour E=0:
(96000+28000)G-28000=0
(96000=28000)G=28000
d’où G = 28000/(96000+28000) ce qui donne G=22,58%.
En conclusion si l’on a plus de 22,58% de chances de gagner le coup est profitable sur le long terme. Au passage on remarque que pour calculer la côte de pot il faut bien prendre en compte sa mise de départ.
Ceci explique pourquoi le livre de Gus est truffé de calculs de genre vu que c’est la bonne façon de procéder…