[What About] Guerre vs Russie: truc de fou ou grand naïf ?!

trooool :wink:

J’ai comme l’impression que t’as un autre point commun avec Poutine.
Son humour. :wink:

Notre relation(!) est partie sur de mauvaises bases :stuck_out_tongue: (mais chut le dit pas à Poutine :wink: )
Du coup j’ai hésité comment le prendre, et choisit la méthode hostile(Un autre point commun avec Poutine? O.O )
Mais si tu veux on peut tout recommencer à zéro pour un nouveau départ, et je te ferais mon deuxième PR manager :slight_smile:

Non pas à zéro, notre vécu sur ce thread est intéressant. :slight_smile:
Et puis les conflits, c’est aussi la vie et ca fait avancer
En plus je suis chicaneur et chiant mais je ne suis pas rancunier.
Alors y’a aucun souci même si on est pas d’accord: Mini Poutine :slight_smile:

Opposition en Russie : Sergueï Oudaltsov condamné au camp de travail
28/07/2014 | Russie Info.
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L’opposant russe d’extrême gauche Sergueï Oudaltsov a été reconnu jeudi par un tribunal de Moscou coupable, avec l’un de ses proches, de “préparation à des troubles massifs” lors des manifestations de l’hiver 2011-2012 contre Vladimir Poutine.

L’opposant russe d’extrême gauche Sergueï Oudaltsov a été condamné à quatre ans et demi de camp de travail. Le juge Alexandre Zamachniouk a expliqué la peine infligée à M. Oudaltsov par la gravité du crime qu’il a été reconnu coupable d’avoir commis.

Un des proches de M. Oudaltsov, Léonid Razvozjaev, également inculpé d’organisation de troubles massifs, a lui aussi été condamné à quatre ans et demi de camp par le tribunal, a précisé le magistrat.

Le Parquet avait pour sa part requis une peine de huit ans de camp contre chacun des deux hommes.

Malgré les affirmations des prévenus, leur culpabilité a été totalement étayée par l’ensemble des preuves, a déclaré le juge lorsqu’il a lu le jugement.

Sergueï Oudaltsov, 37 ans, était un des chefs de l’opposition pendant les manifestations de l’hiver 2011-2012 à Moscou contre le régime de Vladimir Poutine. Sa formation, le Front de gauche, représentait le flanc gauche du mouvement de protestation.

L’opposant était assigné à résidence depuis février 2013 et n’avait depuis ni le droit de quitter son domicile ni de se servir du téléphone ou de l’internet.

Léonid Razvozjaev, 41 ans, était l’assistant d’un député russe de l’opposition. Il a été arrêté en octobre 2012, enlevé selon certains en Ukraine où il s’apprêtait à demander l’asile et ramené de force en Russie.

Une enquête sur les deux hommes avait été ouverte après la diffusion d’un film de la télévision proche du Kremlin NTV, affirmant sur la foi d’images tournées en caméra cachée et d’origine non précisée, que des opposants, parmi lesquels M. Oudaltsov, se préparaient à renverser le gouvernement par la force.

Le dirigeant du Front de gauche était poursuivi pour participation à des troubles massifs le 6 mai 2012, au cours d’une manifestation à la veille de l’investiture au Kremlin de Vladimir Poutine pour un troisième mandat présidentiel.

Cette manifestation, pour laquelle une dizaine de personnes ont déjà été condamnées à des peines de camp tandis que d’autres sont en cours ou en attente de jugement, avait débouché sur des affrontements avec la police, dont les deux parties se sont rejeté la responsabilité.

Au procès jeudi, des militants se sont réunis près du tribunal avec des pancartes demandant la libération de l’opposant et des cercueils portant l’inscription liberté et justice.

Le juge a dû en outre ordonner au cours de l’audience l’expulsion de plusieurs personnes qui protestaient à l’intérieur de la salle du tribunal.

L’avocat de M. Oudaltsov, Dmitri Agranovski, a pour sa part affirmé à l’AFP que le texte de la décision lue par le juge jeudi était semblable au réquisitoire du Parquet.
Source AFP

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La pression s’accentue sur la société civile en Russie
04/06/2014 | Russie Info.
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Une nouvelle vague d’arrestations est en cours en Russie, deux ans après une manifestation anti-Poutine qui s’était soldée par des heurts, a estimé ce mercredi un collectif de soutien aux militants interpellés, alors que trois nouvelles personnes ont été récemment inculpées. Un homme, Oleg Melnikov, a été inculpé mardi de participation à des troubles massifs par le Comité d’enquête russe, pour avoir renversé une cabine de toilettes publiques lors de la manifestation du 6 mai 2012 sur la place Bolotnaïa au centre de Moscou, la veille de l’investiture de Vladimir Poutine pour un troisième mandat au Kremlin. Selon son épouse citée par la presse russe, il a aussitôt reconnu sa culpabilité et a été assigné à résidence.

La semaine dernière, une militante, Polina Stronguina a été aussi assignée à résidence à Saint-Pétersbourg (nord-ouest) dans le cadre de cette affaire. Un autre homme, Dmitri Ichevski, a lui été placé en détention provisoire pour deux mois à Moscou. « C’est une nouvelle vague d’arrestations », a déclaré mercredi à l’AFP Nikolaï Korolev, coordinateur du collectif RosOuznik, qui défend les personnes interpellées lors d’actions politiques. « Il y a eu aussi de nombreuses perquisitions et de nombreux interrogatoires en province », a-t-il indiqué. Selon le responsable, ces nouvelles interpellations ont pour but de « maintenir une certaine pression » sur la société civile.
Source Sudinfo.fr

Le droit de manifester en danger en Russie, selon Amnesty International
03/06/2014 | Russie Info.
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Selon un nouveau rapport publié mardi à Moscou par Amnesty International, le droit de manifester risque de disparaître en Russie avec la nouvelle législation et l’intransigeance des autorités face aux opposants.

Le rapport indique que “l’intransigeance des autorités face à la vague de manifestations qui a eu lieu à Moscou en février et en mars 2014 a montré combien il était devenu difficile et dangereux d’organiser des manifestations et d’y participer. Le droit à la liberté de réunion est depuis longtemps restreint en Russie, mais il risque aujourd’hui de disparaître totalement”, a déclaré Denis Krivocheev, directeur adjoint du programme Europe et Asie centrale d’Amnesty International, cité dans un communiqué.

Le rapport analyse les changements législatifs et politiques en Russie depuis le début du troisième mandat du président Vladimir Poutine, en 2012.

Il dénonce l’interdiction arbitraire des manifestations, la dispersion violente et l’arrestation arbitraire des manifestants, et l’incapacité des tribunaux à faire respecter le droit à la liberté de réunion.

En février et mars au moins sept manifestations sur dix à Moscou ont été dispersées par la police, qui a arrêté plus d’un millier de manifestants pacifiques. Des centaines d’entre eux ont reçu de lourdes amendes et plus d’une dizaine ont été condamnés à plusieurs jours de détention à l’issue de procès inéquitables, selon Amnesty.

Les forces de l’ordre qui jouissent d’une impunité quasi-totale en cas de recours abusif à la force ont laissé à plusieurs reprises des contre-manifestants intimider voire agresser physiquement des manifestants avant leur dispersion, selon l’ONG.

“Il apparaît de plus en plus clairement que les autorités russes cherchent à exercer un contrôle total sur l’utilisation de l’espace public et sur les opinions qui peuvent y être communiquées ou exprimées et que les tribunaux du pays n’ont pas la capacité ou la volonté de résister à cette tendance”, a conclu Denis Krivocheev.

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Quelle liberté pour les médias en Russie ?
17/04/2014 | Joséphine Comte.
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Françoise Daucé, spécialiste des médias russes, décrypte le paysage médiatique en Russie et les différents jeux de pression qui s’exercent sur les lignes indépendantes.

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« Le paysage médiatique russe est bien plus diversifié que ce qu’il porte à croire »
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FrançoiseDaucé
Françoise Daucé est chercheur au CERCEC et au CHEC (Centre d’histoire Espaces et Cultures). Elle étudie les relations entre l’Etat et la société en Russie.
Ses travaux portent sur les formes de domination politique, à la fois coercitives et libérales, qui s’exercent dans différents domaines : l’armée, la société civile et les médias.

Russie Info : Quel est le paysage médiatique en Russie ?

Françoise Daucé : Le paysage médiatique russe est bien plus diversifié que ce qu’il porte à croire et peut se diviser en trois catégories.

On trouve d’abord un certain nombre de médias contrôlés directement par l’État ou par des entreprises proches. Ce sont des médias dits « publics» car ils ont les moyens d’être particulièrement influents, avec – notamment - l’aide de la télévision. Depuis le début des années 2000, les principales chaînes russes sont pilotées par le gouvernement : Perviy Kanal, NTV et les chaînes du groupe Rossiya. Lorsque l’on pense à la télévision russe, on se réfère à celles-ci et à juste titre : la population visionne majoritairement ces programmes dont la ligne éditoriale est dirigée par l’État.

Pourtant, cela n’empêche pas l’existence d’une autre catégorie de médias qui se veut critique et indépendante. Novaya Gazeta dans la presse écrite et Echo de Moscou pour la radio en sont la représentation traditionnelle. Par la suite, on a vu se développer dans les années 2000 de nouveaux médias grâce à internet. Ce nouvel espace de liberté leur a permis de jouer un grand rôle dans les manifestations durant les élections de 2011- 2012. Lenta.ru, Gazeta.ru, le journal Bolshoï Gorod à la fois version papier et internet, Slon.ru ou la télévision en ligne Dojd… Bien que considérés comme marginaux au départ, ces titres dont l’accès au web est de plus en plus large ont finalement une audience incontestable. Une nouvelle presse critique était née, libre, portée par internet et autonome de l’État.

Enfin, on trouve entre ces deux catégories une gamme de journaux d’information générale relativement objective : le journal Kommersant, Vedomosti, Russki Reporter.

Russie Info : Dans le cas de l’annexion de la Crimée, la grande majorité des médias a salué l’événement. Dans quelle mesure l’Etat contrôle t-il l’information ?

Françoise Daucé : Nous avons assisté durant cet événement à une propagande particulièrement ouverte en faveur de la Crimée. Dans les médias d’État, la ligne éditoriale est fixée par le pouvoir. Vladimir Poutine a déclaré que les Russes de Crimée étaient en danger, menacés par l’expansion du fascisme en Ukraine, donc les médias publics – et surtout télévisés - ont véhiculé l’idée d’un devoir russe, celui de sauver ses ressortissants.

Face à cela, quelques journaux russes plus ou moins indépendants ont essayé de tenir une ligne éditoriale moins engagée. Sans remettre en question l’annexion, ils ont donné la parole aux différents partis, comme les pro-Maïdan à Kiev.
Mais il est vrai que l’on assiste à un contexte de pressions très fortes sur les médias, et des cas de rétorsions sur ceux qui suivent une ligne indépendante.

Russie Info : Justement, quelles sont les menaces qui pèsent sur les rédactions indépendantes ?

Françoise Daucé : Tout d’abord, il faut savoir qu’il n’y a plus de censure officielle comme à la période soviétique. A cette époque, la Glavlit (Главлит) - Direction Centrale de la Censure - était chargée officiellement d’interdire les journaux indépendants ou considérés comme dissidents.

Depuis la chute de l’URSS et la disparition de cette direction, il est impossible de calquer cet ancien modèle de contrôle soviétique des médias à la situation actuelle. Aujourd’hui, la censure n’est pas forcément directe mais déploie une palette extrêmement vaste de moyens de pression : autocensure, autocontrôle…

Les médias autonomes sont les premiers touchés car particulièrement fragiles économiquement : ils ne disposent d’aucune aide financière de l’Etat. Ils ont donc un fonctionnement d’entreprise à but lucratif à travers des subventions privées comme la publicité. Elle est indispensable à leur survie car première source de revenus. C’est dans ce rapport complexe que s’exerce le contrôle médiatique. Ce ne sont pas des pressions politiques directes mais des pressions économiques indirectes.

L’exemple de Lenta.ru est particulièrement flagrant. Durant le mois de mars, la rédactrice en chef de Lenta.ru Galina Timchenko a été licenciée. C’est une journaliste reconnue et respectée dans le milieu des médias russes. Son correspondant Ilya Azar avait publié une interview des représentants de l’extrême droite ukrainienne, dénonçant la tentative de prise de pouvoir russe en Crimée. L’organe de surveillance de l’Etat de la Fédération avait alors envoyé un avertissement au journal, l’accusant d’extrémisme. Au final, c’est le propriétaire privé de Lenta.ru, apeuré, qui a licencié Galina Timchenko.

C’est donc un ensemble de jeux qui ont visiblement un fondement politique mais qui s’exercent par l’intermédiaire de dispositifs juridiques ou économiques.

Russie Info : La situation de la chaîne indépendante Dojd illustre t-elle ce type de pression ?

Françoise Daucé : Le cas de Dojd est particulièrement intéressant car c’est une tentative originale de télévision en ligne et sur le câble, indépendante du pouvoir. C’est un modèle médiatique car ils sont les premiers à avoir réussi ce pari avec succès. Grâce à leurs formes journalistiques modernes et branchées portant un véritable sens politique, ils ont obtenu un auditoire important. Ils ont été particulièrement actifs durant les manifestations de 2011-2012.
Mais c’est également un produit économique. Son propriétaire Alexandre Vinokourov s’était clairement exprimé à ce sujet : grâce aux subventions et la publicité sur le câble et internet, la chaîne se devait d’être rentable.

En ayant un positionnement très critique avec la publication du sondage considéré comme anti-patriotique, Dojd a visiblement posé un problème dans le paysage médiatique russe. La pression s’est alors exercée de manière économique par l’intermédiaire des providers internet de la chaîne. Progressivement, tous les câbles qui la diffusaient ont suspendu son émission. Dojd se retrouve aujourd’hui sans revenus, c’est un bel exemple de pression indirecte.

Les employés ont parfaitement conscience du rôle de l’administration présidentielle dans ces événements, mais n’ont aucun élément concret pour le prouver. Ils font face à des arguments économiques, techniques et même immobiliers pour suspendre leur diffusion. Récemment, c’est leur contrat de location qui est arrivé à son terme sans possibilité de renouvellement. Les moyens de pressions indirectes sont donc innombrables.

Dans ces conditions, il est très difficile pour les médias indépendants de survivre car ils sont constamment susceptibles d’être soumis à ce type de pression. Pire encore, ils n’en connaissent jamais la provenance et le genre. Cela viendra t-il des publicitaires ? Des providers ? D’une alarme incendie déficiente dans les locaux ? D’un bail non reconduit ? La palette de contraintes est tellement large qu’ils ne savent plus d’où viendra l’attaque et comment s’en protéger.

Par ailleurs, les agences de presse « d’Etat » ont les moyens de recruter des journalistes particulièrement compétents, donc produire une information de qualité, élément qui joue incontestablement en leur faveur. C’est une source d’inquiétude supplémentaire pour les médias indépendants : en recrutant des journalistes d’opposition talentueux, Rossia Segodnia, Interfax ou Itar Tass assèchent la presse indépendante, énième exemple de censure indirecte.

Russie Info : Autre événement dans le paysage médiatique russe, la création cet hiver de l’agence de presse Rossia Segodnia (Russie Aujourd’hui) par Vladimir Poutine. Quel rôle jouera cette agence ?

Françoise Daucé : En Russie, il y avait trois principales agences de presse: Itar Tass et Interfax qui traitaient prioritairement des questions internes et de politique intérieure, et Ria Novosti tourné d’avantage vers l’international. On trouvait dans cette catégorie d’autres médias russes comme la chaîne de télévision Russia Today (diffusant en anglais à destination des pays occidentaux), et la radio nommée Goloc Rossii.

Vladimir Poutine a regroupé ces médias tournés vers l’international en créant une puissante holding publique issue de la fusion de Goloc Rossii, Russia Today et Ria Novosti. Deux raisons expliquent cette nouvelle directive, d’une part le besoin de rationaliser l’organisation de ces agences, et de l’autre, une reprise en main plus nette de la ligne éditoriale. En conséquence, ce remaniement a entraîné le licenciement d’un millier de personnes rien qu’au sein de Ria Novosti.
A la tête de la nouvelle agence Rossia Segodnia, un proche de Vlamidir Poutine a été nommé, Dmitri Kisselev, connu pour son profond nationalisme et son homophobie.

On ignore pour l’instant le véritable état d’esprit de la ligne éditoriale de Rossia Segodnia. Cependant, le gouvernement a plutôt intérêt à donner le champ libre à ses journalistes, sans quoi, son travail pour l’amélioration de son image à l’étranger sera infructueux.

Le Ministre de la culture russe a annoncé subventionner tout jeu servant la gloire de la nation. Les jeux vidéo étrangers seront aussi désormais contrôlés.

Le gouvernement russe annonce qu’il compte subventionner des jeux vidéo qui rendront sa gloire à l’armée russe, une information relayée par Le Journal du Geek. Dans une interview avec le journal Izvestia, Arseny Mironov, assistant du Ministre de la culture russe, a expliqué que trop de jeux de guerre historiques dépeignent l’armée russe d’une manière “irréaliste” et peu flatteuse.

Il déclare : “La principale chose que nous attendons de fabricants de jeux est qu’ils reflètent les événements de façon réaliste et avec une authenticité historique maximale, en évitant la création d’une image négative du soldat russe”. Il poursuit :
« Le jeu ne doit pas seulement être divertissant, mais aussi améliorer les fonctions cognitives et promouvoir l’éducation patriotique. »

Peu d’équivoque donc : le gouvernement russe veut faire de la propagande auprès de la cible jeunesse. Et il n’hésite pas à mettre la main à la pâte : le ministre de la culture a annoncé un projet de jeu vidéo dirigé par la Société de l’histoire militaire russe. Son action se déroulera pendant la Première guerre mondiale et vous mettra aux commandes de l’aviation russe.

On apprend même qu’il sera le pilote d’une série de jeux qui donneront un portrait “historique précis” du rôle militaire russe dans l’Histoire. Le gouvernement subventionnera tout développeur susceptible de publier un tel jeu… tant qu’il signe le cahier des charges imposé par l’exécutif. Parmi les critères requis : la “vérité historique” et la promotion d’une “image positive de la culture nationale”.

L’intégralité de l’article sur Konbini.com

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CultureJeux vidéoPatriotisme

http://fr.rbth.com/ps/2014/09/11/les_russes_evaluent_la_politique_de_vladimir_poutine_30735.html

Informations pas du tout déformée chez les médias Russes (fin du reportage) ;

Haha pas mal :stuck_out_tongue: Comme partout :slight_smile:
D’ailleur le Petit Journal est l’une des émissions françaises qui est la plus objective à mon sens :slight_smile: Je kiffe!

Tout de même, quelle classe ce Poutine ! B)

C’est pas comme notre François qui ne sait même pas sourire :stuck_out_tongue:

[quote=“Canard74, post:759215”]C’est pas comme notre François qui ne sait même pas sourire :P[/quote]Mais si il sait sourire, il le fait sur la photo… mais c’est juste qu’il a une gueule de con en toute circonstance. :laugh: :laugh: :laugh: :stuck_out_tongue:

Buvons à François :slight_smile:

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La monnaie russe poursuit son effondrement causé par la crise ukrainienne et est tombée à de nouveaux records de faiblesse jeudi, au lendemain de l’annonce par la banque centrale qu’elle levait le pied sur ses interventions de soutien du rouble.
Peu après le début des échanges à la Bourse de Moscou, l’euro a atteint 56,77 roubles et le dollar 45,36 roubles, des niveaux jamais vus surveillés avec inquiétude par la population qui voit l’inflation s’envoler.
La monnaie russe a perdu près du quart de sa valeur depuis le début de l’année alors que montaient en puissance les sanctions imposées par les pays occidentaux contre Moscou pour l’annexion de la Crimée et son soutien aux séparatistes de l’Est de l’Ukraine.
Mercredi, elle a été de nouveau ébranlée. La Banque de Russie a annoncé qu’elle réduisait à 350 millions de dollars par jour ses interventions destinées à maintenir le rouble dans une fourchette préétablie, contre parfois plusieurs milliards jusque là.
L’institution a malgré tout assuré qu’elle continuerait d’intervenir en cas de menace pour la stabilité financière.
« De fait, la Banque de Russie a placé le rouble dans un mode de libre flottement: 350 millions de dollars, c’est une goutte dans l’océan de la demande actuelle pour les devises étrangères », a commenté le journal Kommersant, pour qui la banque centrale reconnaît ainsi sa « défaite ».
« Dans un contexte de sanctions occidentales et de chute des cours du pétrole, les interventions du régulateur n’avaient pas d’effet significatif », a-t-il expliqué.
Certains experts ont estimé que cette décision pourrait à plus long terme permettre un apaisement des pressions sur le rouble.
« Le mécanisme d’intervention est désormais moins prévisible et la banque centrale est mieux équipée pour répondre aux pressions spéculatives », ont ainsi estimé les analystes de VTB Capital.
Pour enrayer l’hémorragie, la Banque de Russie a en revanche nettement resserré les robinets du crédit avec quatre hausses de son taux directeur depuis le printemps, dont de 1,5 point vendredi à 9%.
Pour les économistes de la Haute Ecole d’Economie de Moscou, la réduction des interventions est « logique » vu les sommes nécessaires à leur mise en oeuvre (27 milliards de dollars en octobre).
Le journal économique Vedomosti estime aussi que dépenser les réserves pour soutenir le rouble n’avait "aucun intérêt soutenir le rouble n’avait « aucun intérêt"êt » alors que la chute de la monnaie pourrait rétablir la compétitivité des entreprises russes.
En revanche, « la population doit se résoudre à un abaissement de son niveau de vie »
En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/monde/europe/afp-00614595-russie-le-rouble-chute-encore-apres-la-baisse-des-interventions-de-la-banque-centrale-1061616.php?xtor=RSS-2094&uCHpflm8cbd6LMpg.99

[quote=“Sarruma, post:778622”][/quote]

tain ça laisse rien de présager de bon… merci pour l’info… :dry:


Un peu de “propagande”(cf mon dictionnaire perso propagande:(nom féminin) Chose qu’on montre dans un pays différent du votre et qui vous plait pas, ou ne plait pas aux média de votre pays :stuck_out_tongue: ) :wink:
Activez les sous-titres.

Petite lettre à Obama en ésperant qu’il lise PA( :silly: :laugh: )

Enfin tout ca pour dire que tout le monde semble oublier, mais il y a tous les jours des civils qui meurent la-bas chaque jours.
Il y a quelque jours les habitants ont “fêté” un an(!) depuis le début de l’attaque de l’armée Ukrainienne.