Un vent de déprime souffle sur le poker

Slt,

Si je suis optimiste sur le online au niveau mondial.
Pour 2010. en france, je ne partage pas l’optimisme de Cazeux.

D’après l’article de poker-actu :

"Trois types de jeu d’argent sont prévus par le projet de loi sur l’ouverture du marché français des jeux en ligne : paris hippiques mutuels, paris sportifs à cote et en direct sur des épreuves réelles validées par les fédérations et le poker.

Le texte du gouvernement, dont la date d’examen par le Parlement n’a pas encore été fixée, a exclu les jeux de machines à sous et les paris en spread betting (parier sur un événement mais sans connaître à l’avance le montant de ses pertes).

Ces interdictions, selon l’étude, vont priver le marché français d’une part de marché de l’ordre de 30 % à 35 %.

Par ailleurs, écrit M. Merlin, « l’extrême difficulté technique et juridique pour bloquer les sites illégaux qui proposeront une offre de jeux plus importante et un meilleur taux de retour au joueur » (limité à une fourchette de 80 % à 85 % par le projet de loi) « constituera un handicap pour les opérateurs qui auront des licences en France ».

Lors de l’ouverture, écrit par ailleurs M. Merlin, le marché français « tout comme les autres marchés des pays d’Europe sera majoritairement préempté » par les deux opérateurs historiques (Française des jeux et PMU) et par les grands opérateurs de jeux en ligne (Unibet, BetClic, Winamax …), des multinationales avec plus de 5 ans d’expérience.

Pour les opérateurs français, les secteurs les « plus ouverts » sont ceux des paris sportifs et du poker en ligne, secteur qui connaît une progression internationale de 50 % par an. Actuellement, le marché français, pour le moment réservé à la Française des Jeux et au PMU, a représenté en 2008 un chiffre d’affaires de 1,170 milliard d’euros (630 millions pour la FDJ et 540 millions pour le PMU).

Le secteur des jeux en ligne international est un des rares secteurs, assure l’étude, à avoir une progression en temps de crise de l’ordre de 20 à 25 %, d’autant plus que le marché va « basculer assez rapidement » de l’internet fixe (PC professionnels ou domestiques) vers l’internet mobile (téléphonie 3G). "
Extrait du rapport Merlin.

1/Quels sites acceptera de se passer des machines à sous online et du spread betting? et peut etre de perdre des parts de marché ?
actuellement, les sites qui marchent le mieux sont ceux qui développé
en plus du poker, le casino, les paris.
c’est justement parce qu’everest et party ne l’ont pas assez fait
qu’ils cherchent à fusionner ensenble ou avec un partenaire.

2/Quel sera l’attitude du lobby fdj/etat, si les joueurs vont ailleurs
l’etat va t’il étendre le contrôle des adresses ip (comme il cherche a le faire avec la loi loppsi)?
.Actuellement,
l’état controle les paris via le pmu et cherche à s’étendre vers le poker.Mais c’est sous la pression de Bruxelles qu’il a annoncé la légalisation du jeu en ligne.La hollande risque de payer cher son entêtement.
Je ne suis pas sur qu’ écouter les doléances des joueurs, soit son une de ses péoccupations vu les enjeux.
donc wait and see .

nb: on sera peut-être amener à créer un parti pirate pour le poker
pour qu’il nous écoute ! lol