Merci du feedback.
Le problème d’analyser le river play est double.
1/ D’abord ça n’a pas en soi de particularité intrinsèque en un spot Ce sera toujours la même chose que dans tous les autres spots river où tu te retrouves avec un pot qui fera dans les 80, un stack d’environ 60, deux ranges face à face. Il n’y a rien de spécial en soi dans les spots qui en découlent.
2/ Ce qui pourrait être spécial c’est d’estimer quelles ranges se retrouvent à la river, puisque mon audience n’a a priori pas d’idée préconçue sur la question. Mais là on se retrouve dans le domaine du 100% pratique et 100% empirique : en gros il n’y a rien de bien général ou théorique à dire (cf. le point 1/) donc si je souhaitais en parler il faudrait partir exclusivement sur des exemples. Des exemples seraient longs à construire, longs à exposer, et pas forcément représentatif d’aucune situation générale.
Pour SimplePostflop qui pop ouep j’ai hésité à couper notamment mon moment de flottement (je l’aurais d’ailleurs fait si je n’avais finalement pas compris la raison “artéfactuelle” qui générait ma surprise). En définitive j’ai gardé en trouvant ça intéressant de le constater, mais ça n’avait peut-être pas sa place ici.
Je pense néanmoins que ça reste intéressant sur l’exemple AK/AKo vs QJ de jeter un oeil à ce qu’est la solution “pratique” du problème.
Je tâcherai d’être plus rigoureux à l’avenir, sur les transitions notamment. Encore merci.