Mario Galaxy est excellent, bien meilleur que la version Gamecube. C’est extremement riche, ultra fun, et très long aussi (le genre de jeu que tu continues une fois de temps en temps, quelques niveaux par quelques niveaux, et que tu finis quelques années après l’avoir acheté).
Zelda c’est pareil, en mieux, en plus compliqué, un peu moins fun, et encore plus long. Comme tout Zelda c’est un chef d’oeuvre !
D’ailleurs quand je ne trainais plus sur le forum, j’ai pu remarquer (!!?) qu’il y avait des onglets pour voir les genre 50 derniers posts. C’etait pas mal, non ?
Apparemment, c’est un besoin qui méritait d’être comblé de faire un post qui sert à rien…
Je me joints donc joyeusement à vous de mon Québec qui se réchauffe :), la neige est presque toute fondue désormais, le monde ont lâché leur manteau (il fait maintenant autours de 7 ou 8 oC :D)
Figurez vous que l’animal le plus rapide du monde est le faucon pèlerin. Il fait des pointes en piquer à plus de 250 Km/H. Il a même été chronométré à plus de 400 Km/H, mais mes sources sont peu sûres…
C’est le seul animal à ma connaissance qui s’échauffe avant de chassé, en pratiquant des piqués « à vide » de plus en plus rapides.
Le pèlerin est la terreur des airs…
Sauf que le faucon pèlerin, comme tout à chacun, pousse une petite ronflante de temps en temps. Ben on a beau être une star, on n’en reste pas moins « animal », et faut bien récupérer …
Le hibou grand duc, lui, il vole comme tout le monde. Il a pas les moyens de taper des burns aux feux rouges et il ne se fait jamais prendre pour excès de vitesse : il lui en manque trop sous le capot.
Pourtant, le grand duc est le plus grand prédateur des pèlerins.
Son truc ? des ailes spéciales qui font pas de bruit quand il vole. Le silence total, conséquence de milliers d’années d’évolution qui lui ont conféré des plumes uniques anti-bruit.
Alors ouais, c’est sûr, ça pète moins que des pointes à 250 à l’heure. Mais grâce à ses plumes, le grand duc, il bouffe du pèlerin tous les jours !
Il attend que le faucon s’endorme comme une grosse bouse, et hop ! il lui fonce dessus sans le réveiller !!!
Mesdames et messieurs…, je vous signale tout de suite que je vais parler pour ne rien dire.
Oh ! je sais ! Vous pensez « S’il n’a rien à dire… il ferait mieux de se taire ! »
Évidemment ! Mais c’est trop facile !..
C’est trop facile !
Vous voudriez que je fasse comme tous ceux qui n’ont rien à dire et qui le gardent pour eux ?
Eh bien, non !
Mesdames et messieurs, moi, lorsque je n'ai rien à dire, je veux qu'on le sache !
Je veux en faire profiter les autres !
Et si, vous-mêmes, mesdames et messieurs, vous n'avez rien à dire, eh bien, on en parle, on en discute !
Je ne suis pas ennemi du colloque.
Mais, me direz-vous, si on parle pour ne rien dire, de quoi allons-nous parler ?
Eh bien, de rien ! De rien ! Car rien... ce n'est pas rien !
La preuve, c'est qu'on peut le soustraire.
Exemple : Rien moins rien = moins que rien !
Si l'on peut trouver moins que rien, c'est que rien vaut déjà quelque chose !
On peut acheter quelque chose avec rien !
En le multipliant ! Une fois rien ... c'est rien !
Deux fois rien ... ce n'est pas beaucoup !
Mais trois fois rien !... Pour trois fois rien, on peut déjà acheter quelque chose... et pour pas cher !
Maintenant, si vous multipliez trois fois rien par trois fois rien : Rien multiplié par rien = rien.
Trois multiplié par trois = neuf.
Cela fait : rien de neuf !
Oui... Ce n’est pas la peine d'en parler !