[quote=“youstiti, post:935910”]Ok :).
Ca change pas ce que je pense que je ferais :p, et le fait que plus la somme est ridicule, plus je m’approcherais du 50/50, et plus elle est importante plus j’aurais tendance à m’en éloigner.
Mais tu as raison, peut être qu’en réalité proposer une offre plus généreuse est plus “safe”, et qu’il est plus sage d’être moins gourmand, même si, encore une fois, je ne peux comprendre pourquoi J2 refuserait une offre quelle qu’elle soit.
Pour la maison si en plus tu as une info ça change bcp de choses :D.
Pour ton lien ça me met :
"Votre connexion n’est pas privée
Il se peut que des pirates soient en train d’essayer de dérober vos informations sur le site www.cairn.info (par exemple, des mots de passe, des messages ou des informations sur vos cartes de paiement). NET::ERR_CERT_AUTHORITY_INVALID
"[/quote]
Un petit extrait vu que tu peux pas ouvrir le lien :
(désolé pou le pavé, c’est comme ça dans l’article ;-))
" Le comportement de rejet d’une offre positive est en contradiction avec la prédiction théorique et a, pour cette raison, suscité l’intérêt grandissant des économistes. Ce comportement a été perçu initialement comme une « anomalie » de comportement d’un individu qui serait sous l’influence de ses émotions (Thaler, 1988). Il semble, en effet, que le comportement de rejet s’accroît, en particulier, lorsque les sujets perçoivent l’iniquité de l’offre et que, simultanément, l’intensité de leur colère est forte (Pillutla et Murnighan, 1996 ; Bosman et van Winden, 2002 ; Espinoza, Fedorikhin et Srivastava, 2004). Les travaux en neurosciences utilisant l’imagerie par résonance magnétique ont par ailleurs confirmé cette interprétation : les sujets dont l’activité cérébrale associée aux émotions négatives est forte, rejettent plus facilement les offres inéquitables que ceux dont l’activité est plus faible (Sanfey, Rilling, Aronson, Nystrom et Cohen, 2003). D’autres travaux récents ont cependant montré que ce comportement de rejet traduisait la rationalité d’un individu qui prend en compte, lors du processus de décision, ses émotions et ses anticipations ainsi que les intentions de l’offreur (Blount, 1995). Fellner et Güth (2003) observent, par exemple, que la réaction émotionnelle de rejet dépend du coût relatif du rejet de l’offre par le répondant et donc, de son pouvoir de négociation. De même, la réaction du répondant l’inciterait à se venger de l’offreur, la punition étant elle-même associée à l’activation d’une zone de plaisir dans le cerveau, le striatum (de Quervain, Fischbacher, Treyer, Schellhammer, Schnyder, Buck et Fehr, 2004). Le répondant adopterait donc un point de vue utilitariste en intégrant dans son calcul de maximisation une satisfaction d’ordre émotionnel. […]"